NOTRE SYSTÈME GLANDULAIRE,
UN CAPITAL ESSENTIEL A PRÉSERVER

Pour rédiger cet article je me suis fondé sur les travaux du Dr Jean Gautier (1891- 1961), auteur de « L’enfant, ce glandulaire inconnu » et sur « Ces glandes qui nous gouvernent » ouvrage de Jean du Chazaud, fondateur de la « psycho- endocrinologie »®, légataire des manuscrits du Dr Gautier.

La découverte du Dr Gautier consiste à mettre en évidence la prédominance du système glandulaire sur le système nerveux central, de par son antériorité dans le développement embryologique. Dès le 12ème jour de la vie fœtale c’est en effet la thyroïde qui fait battre le cœur, et non les fibres nerveuses motrices, inactives, car immatures. On peut souligner par ailleurs, que la thyroïde participe à la myélinisation du système nerveux, c'est- à-dire la formation d'une gaine de myéline autour des fibres nerveuses, durant la vie fœtale et au-delà, jusqu’à la puberté

Au fil des ans, l’enfant évolue du type surrénalien (1ere année de la vie), au type thyroïdien (jusqu’à l’âge de 7 ans), puis au type hypophysaire (vers 12 ans) pour commencer à atteindre le type génital interstitiel (vers 15 ans) ; ce dernier ne devant pas être confondu avec la sexualité.
Indépendamment de l’évolution d’un type à l’autre, c’est en passant par 3 pubertés successives (8ème jour, 12ème et 15ème année) que l’être humain atteint un équilibre glandulaire complet l’autorisant à utiliser pleinement son potentiel intellectuel et à développer son adaptabilité sociale (sens moral). Émotions, sentiments, phénomènes sexuels, dépendent donc entièrement des processus hormonaux qui en déterminent l’activité ou son absence totale.

Le bilan hormonal consiste à rechercher l’appartenance du sujet à l’un des 4 types glandulaires dominants : surrénalien, thyroïdien, hypophysaire ou génital.

La thyroïde préside aux enregistrements nerveux liés à la mémoire, et à la qualité des automatismes nerveux. Les secrétions hormonales sont, de fait, indispensables au développement et au bon fonctionnement de tout l’encéphale (le principal constituant du système nerveux central incluant le cerveau, le cervelet et le tronc cérébral).

Comment la régulation hormonale s’effectue-t-elle ?

La régulation hormonale s’effectue essentiellement par l’alimentation (Cf. « Le régime hormone » du Dr Thierry Hertoghe et « Équilibre hormonal et progestérone naturelle » du Dr John R. Lee), mais aussi par l’action d’ondes électromagnétiques (e-m) émises par un générateur.

Le Dr Gautier a en effet découvert, que les ondes, créées par des variations du champ e-m, se propagent dans les cellules de l’organisme en transférant de l’énergie à cet espace et en améliorant le voltage cellulaire. Chaque cellule/organe possède sa propre identité vibratoire qui, au fur et à mesure de la vie, est altérée par les émotions négatives du stress et/ou les facteurs environnementaux.

La santé est la résultante d’une adaptation permanente des cellules aux stimuli internes et externes. Comme à l’ingestion d’un repas riche en graisses l’organisme sécrète les acides biliaires, ou à la vue d’un citron on salive par réflexe, les ondes e-m peuvent, comme facteur externe, jouer sur notre mieux-être. L’utilisation d’un rayonnement e-m non invasif dans des gammes de fréquences particulières est un élément perturbateur qui fait déclencher un phénomène réflexe glandulaire positif. Le débit d’absorption spécifique (DAS) aux ondes émises par le générateur Equiwave est inférieur à 1 W/kg à pleine puissance et est donc dépourvu de toute nocivité, en respectant le temps d’exposition.

Cette méthode de régulation hormonale peut être proposée à mon cabinet, une séance dure environ trente minutes. Pour une efficacité optimale les séances seront renouvelées sur une période de quelques semaines à raison d’une ou deux par semaine.